[BG] Drow - Frozenheart, chroniques d'un complot drow

Introduction

Tout est si sombre, et si froid … Je peux difficilement me rappeler le nom de l’endroit ou je me trouve ainsi que la raison de ma présence ici, mais la douleur d’une blessure et le métal glacé de la poignée d’une épée sont le genre de choses qui ravivent les souvenirs et les font danser devant vous quand vous êtes à l’article de la mort. Cette satanée entaille me fait tellement souffrir, je souhaiterais mourir pour rejoindre mes camarades tombés auparavant. Je dois être le seul survivant à l’heure actuelle, mais combien de temps resterais je en vie ? J’ai perdu trop de sang, et un attirail d’assassin n’est pas le genre de chose utile en de telles circonstances. C’était supposé être une tâche facile, preuve est faite une fois de plus que le monde des drows n’est pas rose.

Chapitre 1 : Enfance

Je n’étais pourtant qu’un drow ordinaire. Né de parents hauts dignitaires du village des elfes noirs, ‘passerelle’ entre le monde de la surface et l’ombre terre, royaume ou ma race est reine. Enfin, passerelle, ce terme ferait sourir nombre d’habitants de l’ombre terre, ce village n’étant pour nous qu’un centre d’échange avec le monde du dessus, dont le commerce est le but même de son existence, tellement nous méprisons les autres races. Je fus afublé du doux nom de Grakk’t Z’haar, un nom porteur d’aspects guerriers. Mon enfance a été en somme très banale, ayant été instruit par un maître d’armes dès le plus jeune âge ; je développais certaines capacités de combats intéressantes selon lui. C’est ainsi que je fus rompu aux techniques habituelles telles l’assassinat ou encore le combat au bouclier. Je n’ai jamais vraiment connu mes parents, ceux-ci demeurant secrets et souvent absents, probablement à fomenter quelque complot selon mon maître d’armes. Ce fut d’ailleurs les dernières paroles qu’il prononça en face de moi, découvrant le lendemain un nouveau maître d’armes ; j’en conclus donc que l’ancien avait été ‘réduit au silence’, chose courante pour avoir la langue trop bien pendue dans nos mœurs. J’appris aussi très vite que j’étais né du mauvais côté, de celui que l’on pouvait appeler ‘le sexe soumis ‘, la société drow s’éloignant radicalement de toutes les autres que j’ai pu observer, ce qui n’est pas étonnant vu nos origines. J’ai toujours eu une aversion totale pour cette organisation ainsi que pour l’attachement de cette culture à la religion de Kain, et je ne le comprends que mieux en ma situation. Je devins donc un guerrier drow à un âge très jeune, commençant par certaines missions plutôt ingrates mais mes résultats me firent vite grimper certains échelons, m’attirant les faveurs de certaines matronnes du village et mes ‘services’ réputés plus qu’acceptables.

Chapitre 2 : Chevalier de Palus

Ce ne fut qu’au terme de ma vingtième année, après ma montée fulgurante des marches de la hiérarchie drow, montée qui m’avait crée nombre de rivaux et d’ennemis dont je n’avais que faire, certains d’entre eux voyant certaines missions gratifiantes leur passer sous le nez (Ma réputation était différente d’une maison a l’autre, chose qui m’amusait particulièrement), que j’eu l’honneur d’être nommé Chevalier de Palus. Je m’apprêtais donc a visiter Menzoberranzan, ville réputée dangereuse parmi les villes drow, tellement la trahison et le complot y sont choses courantes. C’est ainsi que j’arrivais, après un long voyage à me mouvoir dans l’ombre et à combattre des créatures innommables tels les duergars et autres rejets de cette terre ô combien dangereuse, devant les portes de la ville. Je n’avais cessé, tout au long du voyage vers Menzoberranzan, de m’imaginer la ville, et maintenant j’allais enfin voir sa véritable apparence. Je détaillais déjà du regard les portes, contemplant leur architecture sombre et torturée, quand un garde vint me trouver. Je lui dis mon nom et le pourquoi de ma visite, mais il semblait qu’il ne m’écouta pas, devant sans doute déjà connaître mon nom et la raison de ma présence. C’est ainsi que les portes de la cité s’ouvrirent devant moi, lentement, comme pour me laisser scruter et analyser chaque détail qui apparaissait a ma vue de seconde en seconde. Je peux être fier d’avoir vu nombre de villes appartenant a différentes races, mais nul de celles-ci n’a une telle personnalité, une telle présence, que la ville drow. Je découvris au fur et a mesure de mon cheminement vers la maison de Kain, que nombre de drows se murmuraient a ma seule vue, sûrement a cause de mon statut d’elfe noir de la ‘surface’. Ne leur prêtant pas attention mais néanmoins sur mes gardes, je continuais mon chemin. C’est sur ce même trajet, au détour d’une ruelle, que j’entendis quelqu’un m’appeler. Lorsque que je me retournai pour voir qui m’avait appelé, je discerna la silhouette d’un drow en armure, visiblement puissant a la seule vue des détails et de la finition de l’armure. Il entama la conversation avec moi, me demandant toutes sortes de choses telles que le pourquoi e ma visite ainsi que des précisions sur mes aptitudes. Alors que je lui expliquais avec méfiance et retenue, il me coupa la parole et m’expliqua qu’il souhaitait me confier une tâche, mais que je ne pouvais connaître la nature de celle-ci qu’après mon initiation de chevalier et après l’avoir rejoins. Il me lâcha qu’il me recontacterais le moment venu et c’est alors qu’il reprenais son chemin que je le héla en lui demandant son nom. Un seul mot sorti de sa bouche alors qu’il s’éloignais, ‘saylver’. C’est ainsi l’esprit troublé que je repris mon chemin vers la maison de Kain, bâtisse sombre surplombant le reste de la ville. Je fus rapidement introduis a la matronne de cette demeure qui me confia tout aussi rapidement aux soins d’un nouveau maître d’armes afin de commencer et compléter mon entraînement. Durant cette période, marquée par les cicatrices et la fatigue, je me promenais de temps à autre cette cité. Mais rien que le fait de parcourir ses ruelles et ses chemins vous faisais comprendre la raison de sa réputation tellement l’atmosphère était pesante et sombre, presque prête a vous trahir elle-même, me laissant entrevoir le masque d’horreur derrière l’architecture merveilleuse de la ville. Durant ce long mois ou je fus entraîné aux techniques de combat des chevaliers, perfectionnant mes aptitudes a l’épée et ma magie de guerre, mais toujours avec une question en tête : ‘Qui était donc ce ‘saylver’ ?’. Ce ne fut qu’une semaine avant la fin de mon initiation que je me décidai à demander a mon maître d’armes l’identité de cet homme, prétextant que j’avais entendu nombre de conversations sur lui lors de mes promenades dans la cité. Il ne pu me révéler beaucoup d’informations mais apparemment, il semblait que celui-ci était le général d’une des grandes maisons de la ville, la maison des Nephilims, et qu’il disposais d’au moins autant de pouvoir que la matronne de la maison elle-même, chose rare. Ce fut au terme de cette affectation que je fus gratifié chevalier de Palus par la matronne elle-même. Je disposais ensuite de deux jours pour quitter la ville et rejoindre ma nouvelle affectation au village des elfes noirs.

Chapitre 3 : Complot

Ce n’est que le soir avant mon départ que Saylver repris contact avec moi, dans des circonstances pour le moins inquiétantes car je retrouvai celui-ci dans mes quartiers après ma dernière balade dans Menzoberranzan. Ne trouvant guère encourageant cette manière de venir me contacter, j’entamais la discussion avec méfiance. Il m’expliqua tout d’abord la situation politique de la cité (dieu sait que les drows adorent la politique et les complots visant le pouvoir). Il s’avérait que la maison de Kain ne remportait plus l’unanimité parmi les autres maisons mais que celle-ci continuait à régner a cause de l’inaction des autres maisons. Il comptait donc renverser le pouvoir ? Chose intéressante mais risquée à dévoiler a quelqu’un qui ne vous est pas encore fidèle. Tant de franchise de la part d’un drow était inquiétante, voire voulue, ce qui ne fis qu’exacerber ma méfiance. Ce ne fut finalement qu’après une longue discussion de quelques heures qu’il me dévoila la raison pour laquelle il m’avait contacté. Il s’avérait que mes parents travaillaient avec lui et qu’il avait reçu des rapports plutôt élogieux sur moi venants de la surface, il venait donc me demander de le rejoindre. Je lui répondis ne pas savoir si je devais accepter ou non, chose qu’il acquiesça. Il me dit avant de partir qu’un de ses contacts à la surface ferait office d’intermédiaire entre lui et moi. Ce ne fut que tard dans la nuit, tellement celle-ci était remplie de doutes et de questions, que je décidai de la marche a suivre : J’irais d’abord trouver mes parents pour obtenir confirmation sur ses dires et obtenir des précisions et j’aviserais en fonction du résultat de cette entrevue.

Chapitre 4 : Retour à la surface

Je partis le lendemain, en parfait inconnu, de la ville drow, bien décidé à tirer cette histoire au clair. Le chemin de retour fut beaucoup plus simple, je connaissais après tout déjà le chemin et nombre de mes ennemis ne me sentirent même pas passer. Lorsque je réapparu dans le village drow, je sentis a nouveau l’air pur et la sensation aimable de l’atmosphère, tant celle-ci différait avec celle de Menzoberranzan. Ce séjour avait serieusement altéré ma façon de penser et de percevoir mon environnement. Résistant au désir d’aller tout de suite voir mes parents, je fis un crochet par mes nouveaux quartiers, qui le resterait jusqu'à de prochaines instructions de la cité. Je fus mis au courant de mon travail, celui-ci consistant a peu près a celui d’assassin, mes talents n’étant pas passés aussi inaperçus que je le pensais. Après avoir reçu des précisions concernant mes tâches quotidiennes, je décidai de rendre finalement visite a mes parents. Une fois arrivé devant leur demeure, je me mis à étrangement hésiter. Pourquoi ce sentiment, et surtout pourquoi à ce moment ? même aujourd’hui je ne saurait y répondre. Après un court moment passé à penser je ne sais trop quoi, je me décidai à pousser les portes de la maison et à y entrer. Connaissant bien cette maison pour y avoir passé mon enfance, je me déplaçais aisément, connaissant les pièces ainsi que leur localisation. Ce ne fus qu’au bout de quelques minutes passées dans le silence le plus total que je trouva la maison trop silencieuse. Je me dirigeai donc prudemment vers la chambre de mes parents ainsi que vers leurs bureaux. C’est ainsi qu’en entrant dans cette chambre que je découvris le spectacle macabre imposé a mes yeux. Je trouva mes parents morts, ma mère assassinée dans son sommeil et mon père empalé au mur par une épée, une autre gisant a ses pieds. Sans doute avait-il voulu se défendre, en vain. Etrangement, cette scène ne généra aucune émotions chez moi, preuve que le mot ’parents’ n’était plus qu’un mot dont j’usais par simple habitude. J’eu tout de même la présence d’esprit de constater que l’épée retenant mon père au mur était d’origine drow, leur trahison avait donc été découverte. Je laissais donc les lieux tels quels en prenant bien soin d’effacer mes traces de passage. Repartant discrètement vers mes nouvelles obligations en laissant un pan de ma vie ainsi que nombre de réponses derrière moi, ne pouvant à présent faire que des suppositions.

Chapitre 5 : Assassin

Je ne mis pas longtemps à découvrir que le contact dont m’avais parlé Saylver n’était autre que le chef de ma ‘garnison’ lui-même. Selon ses dires, moi ainsi que les autres assassins présents ici devions être secrètement entraînés afin de servir les intérêts de la maison de Kain, enfin pour le moment, car il était clair que Saylver visait un autre but dont je commençais à saisir la nature. Mais pourquoi m’entraîner alors que je n’avais même pas encore accepté de le rejoindre ? Il devait être sacrément sur de ses décisions et cela ne me disais rien qui vaille. Je me mis donc dans les premiers jours qui suivirent à ‘travailler’ d’arrache-pied. Mes exécutions rapides et brutales me valurent rapidement le surnom de Grakk’t ’Frozenheart’, ce qui n’était pas faux car je tuais mes victimes, tantôt un magicien humain trop arrogant, tantôt un chaman orc trop dangereux, sans pitié, presque machinalement. Ce ne fut qu’au bout de cinq mois d’assassinats incessants que moi et mes compagnons furent rappelés à Menzoberranzan afin d’être récompensé pour nos loyaux services. Le voyage se fit sans difficultés, nous étions après tout cinq assassins parfaitement entraînés et la plupart de nos ennemis n’avaient même pas le temps de nous entendre ou apercevoir qu’ils finissaient avec une épée plantée dans la gorge, et quand bien même ils auraient repérés l’un d’entre nous, un second les prenait de dos et les exécutait. La sensation lorsque que nous atteignirent à nouveau la cité fut la même que la première fois, a peine atténuée, cette sensation lourde et viciée qui vous rendrait fou n’importe quel être autre qu’un drow, a l’exception près que j’avais une sensibilité bien plus accrue que la première fois, ce qui me permis de percevoir les nombreux regards hostiles posés sur notre groupe. Mes compagnons aussi les avaient sentis et demeuraient extrêmement méfiants, Saylver ne les avait pas choisis pour rien.

Chapitre 6 : La réponse

Il était convenu que nous rencontrerions la matronne deux jours plus tard, ce qui signifiait que nous étions pour le moment passés inaperçus, chose que Saylver devait espérer. Nous disposions d’une chambre par personne, tout comme lors de ma première visite. Je me dirigeais donc vers la demeure suivi par mes compagnons, attendant le contact de Saylver, car nul doute qu’il viendrait quérir ma réponse. La situation que je n’avais pas envisagée était le fait que celui-ci m’attendais dans mes quartiers, tout comme la première fois. Etais-je donc si important pour qu’il se déplace en personne ? J’entamais la conversation, tout aussi méfiant que la dernière fois, ce qui me laissa un désagréable sentiment de déjà-vu. Lorsqu’il me demanda ma décision, je lui répondis que je n’étais toujours pas fixé sur ce point, chose vraie a ce moment. Il se mit donc à argumenter afin de m’osciller dans sa direction. Le premier et dernier argument qu’il me cita était le fait que je détestais cette société, information visiblement obtenue de mes parents a l’heure où ils étaient encore vivants. Il marquait un point, et de taille, j’avais toujours détesté ce système et son attachement a ses rites religieux archaïques. Je me dis que ce serait peut être la première et dernière fois que je pourrais faire quelque chose pour changer cela, bouleverser le cours des choses et éviter de suivre le destin qui me laisserait devenir un outil de l’ombre dont on peu disposer, la tâche serait ardue mais faisable. Je lui dis alors que j’acceptais de le rejoindre à une condition, être libre de mes choix, je pouvais donc refuser un de ses ordres si je le trouvais déplacé. A l’entente de cette réponse une lueur brilla dans son regard et il s’empressa d’acquiescer, ne laissant aucune émotion le trahir.

Chapitre 7 : Préparation

Nous étions censés rencontrer la matronne dans deux jours, mais tenter un assassinat a ce moment aurait été pure folie, nous nous devions donc de frapper le soir d’avant, un banquet étant organisé à la maison, la sécurité devait donc être affaiblie a certains endroits. Le plan visait a pénétrer dans la maison et à attendre la matronne pour l’assassiner dans ses quartiers, seul endroit ou sa garde ne pénétrait pas. Sur ce, il me balança un paquetage que je m’empressai d’ouvrir, l’air intrigué. Quelle fut ma surprise lorsque que je constatai que le paquet contenait une armure de cuir drow, réputées pour former une deuxième peau et permettre à son porteur de se fondre parmi les ombres, ainsi qu’une épée drow. Soupesant celle-ci et la maniant en face de Saylver, constatais qu’elle était parfaitement équilibrée, c’était la sans nul doute l’œuvre d’un grand artisan. Apres m’avoir donné ce paquetage ainsi qu’une carte de la demeure de Kain, il me laissa me reposer, l’assassinat étant prévu pour le lendemain. Je passai la nuit à m’imaginer le nouvel empire drow et sa société plus juste mais toujours aussi crainte et ténébreuse. Nous passâmes ensuite la journée du lendemain, moi et mes compagnons, à étudier la carte afin de découvrir que le point faible de la sécurité devait se trouver au sud de la maison. J’eu aussi le temps de discerner un passage secret sortant de la maison et situé non loin de la maison de la matronne, il devait sûrement mener dans les cavernes entourant la ville.

Chapitre 8 : L’opération

Le soir même, nous nous dirigeâmes vers la maison, couverts par les ombres grâces à nos armures drow et silencieux comme celle-ci. Une fois arrivés à l’endroit indiqué sur la carte, nous tuâmes discrètement l’unique garde présent et allâmes cacher son corps en bas de la maison, à l’entrée de ses égouts. Une fois le cadavre dissimulé, nous marchâmes vers la chambre de la matronne, rapidement et discrètement. Nous arrivâmes dans celle-ci en étant passées inaperçus, enfin du moins je croyais, lorsque un magicien ainsi qu’une dizaine de gardes apparurent devant nous dans un halo bleu. Nous n’attendirent pas qu’ils prennent la parole pour passer à l’attaque et le magicien et un garde finirent un couteau planté dans la gorge en l’espace de quelques secondes. Mais nous avions beau être des assassins hors pair, notre arme était la surprise et la discrétion, et celles-ci s’étaient enfuies à l’apparition des gardes. S’en suivit un combat meurtrier ou je vis mes camarades tomber les uns après les autres pour ne laisser finalement que moi et un garde face à face. Nous nous regardâmes longuement, guettant chacun la faille dans la défense de l’autre ainsi que le moment ou il allait attaquer. Ne tenant pas face a cette pression énorme, je me précipita avec l’agilité d’assassin que j’avais sur le garde qui finis avec mon épée dans le ventre, mais pas sans m’avoir gravement blessé aux côtes. Contemplant le désastre généré par notre opération, je me réveilla rapidement et me souvins du passage secret non loin de la chambre ; c’était peut être la seule chance de survie a présent. Je me faufila autan bien que mal vers le passage et trouva sans grande difficultés le mécanisme tellement il était classique. Alors que je parcourais le tunnel formant le passage mon esprit malade de douleur engendra nombre de questions. Qui nous avais dénoncés ? La matronne savait elle combien d’assassins Saylver avait envoyé ? La réponse a cette dernière était claire, on n’envoie pas dix soldats luter contre un seul assassin a un moment précis, même trop précis a mon goût. Il apparaissait donc que celle-ci avait été parfaitement renseignée, elle devait donc a présent savoir que j’étais le dernier survivant. Haletant et suffocant, j’arrivai au bout du passage pour déboucher enfin dans ces cavernes, m’empressant, malgré ma blessure, de me mettre à l’abri. Sentant mon heure proche si je ne me reposais pas je décida alors de me cacher dans une cavité et de panser mes blessure tant bien que mal. Et me voila dans cette situation désespérée, agonisant et gisant dans mon sang. Je vois une lueur au fond des cavernes, ce doit être les soldats de la matronne, puissent-ils ne pas me trouver le temps que je guérisse …

(A SUIVRE …)

Desole pour cette suite de message mais apparemment ce nouveau forum n'aime pas ma tartine

(plus besoin de lire les tartines du chef, youpiiiiii )

Citation :

D'apres moi, ça vaut le Background de Dae qui est (Il faut le dire) pas mal.

toi quelque chose me dis que tu cherches a avoir mes epees dans la tete

(c'est pas trop comparable le sien parle de dragon le mien est quand meme plus sombre, enfin a mon avis ...)

Et selon mon humble avis il l'écrase largement Fro.

Je reste béate d'admiration quant a moi...(ne croyez pas qu'il s'agit d'une vile tentative de s'attirer les faveurs de l'admnistrateur )
Pour reprendre ce que je disais, j'espère etre un jour capable d'en faire autant.
Je reitère mes acclamations et mes manifestations d'admiration sans bornes

regle numero un : l'admin reste impartial dans toutes les conditions *
*mais peut se faire corrompre si les arguments sont convaincants

(de toute facon c'est pas encore fini le jour ou j'aurais la motivation je pondrais le reste mais ca va etre sacrement long, rien que cette partie faisait pas loin de 14 pages sur feuilles )

Règle personnelle...
Toute chose est venale et peut etre acheter...Mais en l'occurence JAMAIS oh grands dieux! Jamais l'idée ne m'a effleurée de detourner notre administrateur hors du commun.



**[size=9]Toutefois si l'administrateur en question se sent frileux...[/size]

Citation :

Toute chose est venale et peut etre acheter...Mais en l'occurence JAMAIS oh grands dieux! Jamais l'idée ne m'a effleurée de detourner notre administrateur hors du commun.

et apres elle me sors qu'elle veut pas me corrompre ?
***oui oui l'admin a toujours froid ca se sait ^^

Si c'est pas de la pommade ca !

(Je veuuut être admin adjoint )

Et bien Bravo je sais meême pas comment c possible d'écrire autant sur son perso!
Je m'incline.

Ben que dire tu connais deja mon avis sur ce bg donc ben
Super!

Lord Kenoby a écrit:

Et bien Bravo je sais meême pas comment c possible d'écrire autant sur son perso!
Je m'incline.

eh ben tu prends une feuille, tu te fais ta petite histoire dans ta tete qui soit un brin coherente et originale, tu sors le stylo et tu grattes au feeling, teste et approuve

Pourtant il me semble que cela est insuffisant car sans cela, nous aurions tous un brillant background. cependant si quelqu'un est empeché a cause d'un stupide manque de papier, je me sens prete a lui en fournir.
Je veux dire par la que l'extrardinaire prestation de notre administrateur est due a son génie litteraire et non a aucuns facteurs exterieurs sans importance...

Je trouve qu'au niveau flatteire vile et interessée je fais d'immense progrès...

****Message personnel a l'adresse de l'admin : S'il a froid, je suis toute prete a faire oeuvre de tous mes moyes qui sont humbles pour l'aider

Citation :

Pourtant il me semble que cela est insuffisant car sans cela, nous aurions tous un brillant background. cependant si quelqu'un est empeché a cause d'un stupide manque de papier, je me sens prete a lui en fournir.

c'est comme ca que je procede bon ca sort pas parfait une fois le texte ecrit ca c'est sur faut relire et affiner mais la base est la

Citation :

Je veux dire par la que l'extrardinaire prestation de notre administrateur est due a son génie litteraire et non a aucuns facteurs exterieurs sans importance...

Je trouve qu'au niveau flatteire vile et interessée je fais d'immense progrès...

nonnnnnnnnnn surtout pas interessee la flaterie (ca se remarque juste un ch'tit peu )

(genie litteraire laissez moi rire si j'etais aussi fort que ca j'aurais fais une formation la dedans, il me semble que je me suis un peu egare dans ce cas )

Mais sachant que mon interet n'est autre que ce cher administrateur, je ne pense pas et serais offusquée d'apprendre que cela lui deplait. Je suis et reste dans tous les cas la très devouée servante de ses interets personnels et non des miens comme on a pu le croire. En effet dans mon intentin de partager avec lui ma chaleur je ne m'inquietais que de sa santé. Pour mon interet je pense le trouver avec le sein, euh le sien si ses vues rejoignent les miennes. J'espere que ce sera le cas...

Nous sommes un Clan avant tout et surtout Unis!!
Alors heu comment dire...
Nous aussi on a froid
Certes il faut preserver notre bon admin mais tous les membres present aussi donc en ce cas je me sacrifie le premier dans tes bas, euh tes bras...
bon d'accord c'est bon je sais pas besoin de le dire

IL faut me comprendre je tente d'abord de detourner notre administrateur de ses fonctions...Mais j'ai de la place dans mon lit....
ALors pas de problèmes!!!